Hiver en Labourd. L’etxe ( la maison basque) et son troupeau. ( phot. J. Blot).
Les brebis dans l’etxe. (phot. J. Blot).
Traite dans la bergerie de l’etxe. (phot. J. Blot).
Décollement de la peau par une incision pratiquée à une patte arrière.
(phot. J. Blot).
Finition du décollement au couteau. ( phot. J. Blot).
La qualité de la denture conditionne l’alimentation
et donc la productivité. (phot. J. Blot).
Un bélier dit « de réforme » en vente au marché. (phot. J. Blot).
Berger transportant la brebis pour la tondre. (phot. J. Blot)
Tonte avec les « forces », ancien ciseau à tondre,
déjà connu des Romains.(phot. J. Blot).
Fileuse de laine suivant les méthodes traditionnelles. (phot. J. Blot).
L’antique traîneau,( léra), au centre de gravité très bas,
est adapté aux fortes pentes. (phot. J. Blot).
Les fougères fauchées en automne
feront la litière des brebis en hiver. (phot. J Blot).
L’écobuage donne aux montagnes basques
un curieux air de volcans en activité. (phot. J. Blot).
La transhumance de printemps commence, vers les estives. (phot.J. Blot)
Chaque berger identifie ses brebis par
des marques aux oreilles et de la couleur.
Comme un long fleuve tranquille…
vision d’avant les transports en camion (phot. J. Blot)
Premières montées, avec l’âne fidèle, et le chien vigilant. (phot. J. Blot).
Un hôtel restaurant au nom de circonstance…
(Artzainetchea = la maison du berger). (phot. J. Blot).
Montée progressive, sous la pluie…( phot. J. Blot).
Rude et pénible montée. (Phot. J. Blot).
Une pause bienvenue. (Phot. J. Blot).
Les pistes de la préhistoire, « altchubide », jalonnées de mégalithes,
sont toujours empruntées. (phot. J. Blot).